Cette année encore ,la CGT a décidé d’inscrire le 1er mai comme date importante de mobilisation autour des questions de Paix, de libertés syndicales et de progrès social.
Mettons l’accent sur les attaques de toutes parts aussi bien sur nos militants que sur nos bourses de travail, et plus largement sur la défense des libertés en général.
« Attaquer un-e militant-e de la CGT, c’est s’attaquer à toute la CGT »,
doit prendre tout son sens et nous avons besoin de recenser précisément toutes ses attaques contre nos militant-es.
Le 1er mai, c’est aussi l’occasion d’exprimer nos solidarités internationales. Nos valeurs de Paix pour l’ensemble des travailleurs·euses du monde, et de réaffirmer notre soutien à toutes les victimes de conflits armés.
Exigeons en Ukraine et en Palestine une paix juste et durable dans le cadre du droit international, qui ne peut se faire aux conditions de l’agresseur.
C’est aussi un moment fort pour les revendications des travailleurs·euses, entreprise par entreprise ou établissement, travaillées avec elles et eux et leur permettant de manifester ensemble en proximité : il y a urgence d’augmenter les salaires, le point d’indice, les minima sociaux et les retraites.
Enfin, le 1 er mai reste un moment où s’articulent mobilisation et fête populaire tout en continuant nos luttes en cours : salaire, égalité femme-homme, industrie… à partir des réalités locales et des situations professionnelles.